Ça me rend dingue, j’adore ! Une chose que j’adore faire c’est taper sur mon clavier à toute vitesse, comme là tout de suite ! Attention un vrai clavier solide et tout, pas un clavier en silicone ou le clavier d’un PC portable !
J’adore cette sensation ! Quand je suis partie rien ne m’arrête ! J’imagine que ça doit être la même chose pour un pianiste, moi c’est ma musique les touches !
C’est lourd mais léger en même temps. Je tape fort, vite mais c’est fluide, léger, naturel.

Je ressens à peu près la même sensation avec les pieds, sauf que je n’en ai que deux alors que j’ai dix doigts. Quand je danse, ce pas de base si dur à apprendre, ce pas si marqué, il faut vraiment taper, s’enfoncer dans le sol. C’est la même chose, c’est fort et léger, la danse.

J’ai du mal à supporter que quelque chose ne fonctionne plus. Même si ce n’est pas d’une importance capitale, même un petit truc.
Il faut que ce soit réparé et le plus vite possible. Si je peux, naturellement je répare moi-même. Si je peux pas je demande de l’aide, et je peux harceler Jérémy, homme du Sud, si ça traîne.

Ce que je n’aime pas du tout, c’est quand ce n’est pas répérable, ou alors un peu seulement :
Bon j’ai fait ce que j’ai pu, le bouton dépasse un peu, c’est moins joli. Bon en fait ce sera moins bien qu’avant, il faudra que tu fasses ça en plus, mais ça fonctionne quand même.
Quand c’est comme ça, neuf fois sur dix je remplace l’objet en question. Et quand je donne l’ancien à quelqu’un à qui ça peut servir on me demande pourquoi je me débarasse de cet objet qui fonctionne encore.

C’est comme ça, j’ai du mal à supporter ce qui est cassé !

J’ai du être mal habituée, trop gâtée : un père bricoleur, perfectioniste et qui n’attendait pas 3 semaines avant de réparer, et Benjamin était comme ça aussi !