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C’est décidé je ne prêterai plus jamais les livres de mon auteur préféré, Francesco Alberoni !
Certes je suis très enthoutiaste quand j’en parle, mais je préviens aussi : attention c’est ” intello ” pas le genre de livre qu’on lit dans le métro !
Le scénario est toujours le même, j’ai en face de moi un ami ou une amie, un copain, un collègue, bref quelqu’un qui s’intéresse aux relations humaines, à la psychologie, à la sociologie, du coup je parle de mes lectures.

Et je prête mes livres préférés toujours en disant : bien sûr tu n’es pas obligé de tout lire, mais celui ci et celui là, je pense que ça vaut le coup.

Le temps passe, 3 ou 6 mois : tu en es où ? Ah pas commencé ? 1 an ou 2 : bon écoute si vraiment tu ne comptes pas les lire, rends les moi ou rend moi au moins une partie.

Certain ont commencé et abandonné. La plupart n’osent pas dire que c’est trop pointu pour eux, ou alors n’ont pas osé refusé quand je les ai prêté : pourtant il suffit de dire ” non je préfère les acheter “. Depuis la kindle, quand on me conseille un livre je note le titre : non garde le, je ne m’encombre plus, je le téléchargerai sur ma liseuse.Bon je n’ai pas à me plaindre, je les récupère mes livres, il est vrai que jamais je ne les prêterais pas si j’avais un doute, c’est déjà très rare que je prête. Je les récupère mais très longtemps après ! Et je précise que j’en avais tout de même racheté un ou deux, tant la personne avait mis de temps à me les rendre !

La dernière fois, j’ai fait plus simple avec un ami : bon ça fait longtemps maintenant. Et il y en a que j’ai envie de relire (ce qui est vrai) si en janvier tu n’as pas commencé tu me les rends !
Je viens de les récupérer ! Et c’est fini plus jamais je ne les prêterai !

Je pense que jamais je ne trouverai quelqu’un capable de les lire, de les apprécier et avec qui je pourrais en parler ! Une seule amie en avait lu un, mais trop débordée pour lire la suite, ou sans doute moins passionnée que moi, quand un auteur me plait je ne fais pas les choses à moitié.

Mon rêve serait qu’un jour quelqu’un me dise : tiens j’ai lu ça ! Hein, quoi ? Tu l’as lu !

Bon j’exagère, je suis sûre que de nombreux blogueurs pourraient lire Francesco Alberoni, comprendre et apprécier !

Mais en attendant, si un jour je les conseille à quelqu’u, je lui dirai : si vraiment ça t’intéresse, achète les ! Moi c’est fnin je ne suis plus prêteuse !