103349438

Heureusement on peut compter sur la maladresse masculine…

Et il n’échappe pas à la règle !

Mes larmes ne coulent pas, j’ai eu le temps de les retenir. Et puis il veut parler, nous parlons une heure. Je le regarde droit dans les yeux, je souris parfois, car il sait me faire rire.

Mais tout ça n’a pas d’importance. Quand nous avons tout dit, il me prend dans ses bras et me colle un gros baiser sur la joue. Et ça vaut toutes les excuses du monde, toutes les mots du monde…

Je suis encore un peu perturbée en me couchant le soir. J’ai envie de parler encore… Mais je ne le ferai pas. Je ne veux pas être de ceux qui ressassent ou reviennent sur le sujet, à quoi bon.

Le lendemain matin il m’a écrit un mél. Puis deux jours après, un autre pour donner des nouvelles.
J’ai à la fois envie de sauter de joie au plafond et de trouver ça naturel.

Voilà le premier cap est passé !