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Et puis finalement le long week-end s’est bien terminé ! 

Vers 18 h 30, alors que je commençais à songer à me préparer pour aller dîner chez Bastien, je reçois sur Face de bouc, un message de Joseph. 

Il n’avait pas répondu à mon dernier mél, il m’explique qu’il était loin pour des raisons professionnelles, il me dit qu’il a failli m’appeler plusieurs fois parce qu’il n’avait pas le moral : “tu aurais du, on se serait consolé mutuellement”. Puis je lui dis que je me suis ennuyée le week-end et que je sors enfin ce soir chez Bastien. 

Et je me sens mieux, joyeuse, tout va mieux ! C’est bizarre mais c’est comme ça ! Mes autres copains sont gentils, toujours prêts à me proposer une sortie, toujours partants pour me consoler si je leur demandais… 

Mais ils ne sont pas Joseph ! Quand Joseph n’est pas là, je m’en passe très bien, mais quand il est là il est mon rayon de soleil ! Pourtant je ne pleure pas constamment sur son épaule, parfois je ne le contacte même pas si je vais mal. 

Je suis toute guillerette en me préparant et je me moque de moi-même ! Des nouvelles de Joseph et tout va mieux ! Il t’en faut combien d’hommes dans ta vie, ma petite grosse ? Oui j’aime bien me donner des surnoms gentils ! 

Je me prépare en emmenant mes chaussures dorées. Nous nous retrouvons, Bastien, Stanislas, deux copines et moi pour dîner. Nous prenons l’apéritif sur la terrasse, dînons en papotant, puis les filles mettent leurs chaussures de danse et nous dansons. 

Et voilà un week-end qui finit bien !