Allez c’est reparti pour un quizz !

Voici un petit billet dans lequel se cache des titres de chanson. Facile ! Votre mission si vous l’acceptez, c’est de trouver le nombre de titres qu’il contient.

Pour ne pas copier sur les copains, les commentaires sont modérés pour la journée. 

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J’ai rendez-vous avec vous ! Le lieu est un peu étrange, dans une clairière au milieu d’un bois. C’est vous qui avez décidé de l’endroit.  ” Le soleil a rendez-vous avec la lune, et les grenouilles nous ont à l’œil ! “

J’en rêve encore de ce dernier rendez-vous avec vous, quand vous me disiez ” osez Joséphine ” et que j’osais.  J’ai oublié de vivre et j’ai besoin d’un ami, vous ai-je dit ! Mais vous avez bien vite trouvé une signification spéciale au mot ” ami ” : voulez vous coucher avec moi, ce soir ?

J’ai dit oui car la vie est belle, et mon père était absent, je me croyais à San Francisco, je n’y suis jamais allé. Et je me croyais la plus belle pour aller danser, mais je n’ai pas dansé.

Pour l’heure je voulais te dire que je t’attends, mais je n’ose encore vous tutoyer, mon vieux.

Pourtant je l’ai bien mérité, je me suis faite belle à en crever.

J’entends un bruit étrange sous l’océan, est-ce la chanson douce d’un pinson ? Suis-je amoureuse ?

J’ai un peu peur car vous avez un succès fou. Et si vous ne veniez pas ? Hier on m’a dit que vous vous étiez battu dans un bar, ils n’aiment pas ma gueule avez vous dit comme excuse.

Vous êtes un homme étrange et déroutant. Comment puis-je espérer vous tenir entre mes mains ?

Courage, l’amour existe encore ! Je sais que vous viendrez sous le vent, mais les grenouilles se rapprochent et je m’inquiète. Noir c’est noir, il fait si noir et je n’ai pas de lampe torche.

Je me croyais sur une île, mais j’entends siffler le train. La ville de lumière est proche, la corrida les attire, mais je n’ai pas peur des hommes, plutôt des grenouilles.

Le grand sommeil va me prendre avant votre arrivée ! Laisse moi t’aimer avant l’arrivée des grenouilles !

Le temps du muguet va venir bientôt, peut-être que mon amie la rose fera peur aux grenouilles ?

Soudain j’entends siffler sur la colline. Enfin ! Je me tourne vers le chemin.

Salut ! Crie votre voix

Je n’ai pas pu partir avant le dernier slow me dites vous.

Le soleil donne encore faiblement. Vous avez des bottes et j’ai des talons aiguilles, vous m’entraînez vers ma cabane au Canada et je vous suis.

Les grenouilles ne nous ont pas vus.

Ce n’est pas une cabane, mais une vieille caravane ! Je suis déçue. Mes yeux sont fatigués, mais vous m’obligez encore à lire dix pages de votre manuel avant de passer à l’action.

Parlez moi d’amour vous dis-je mais vous refusez. Vous avez trop peur des grenouilles ! Elles pourraient mal interpréter ces mots.

Combien de temps sommes nous restés ?

Il est trop tard pour réagir quand nous comprenons. Les grenouilles sont là ! Sans bruit elles sont entrés dans la caravane.

Elles sont partout, sur le sol, sur le mur, sur le lit.

Tétanisés, nous nous sommes habillés hâtivement, attendant le jugement dernier !

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