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Pendant les vacances pour fêter… Je ne sais plus quoi, pas besoin de fêter quelque chose d’ailleurs, nous sommes allées au restaurant, mes filles, Martine et moi.

C’était d’ailleurs le fameux soir où Gaël était parti en embarquant mon portable, et oui c’est dingue le nombre de trucs qui peuvent arriver dans la même journée !

Je n’ai pas beaucoup d’idée pour le choix de l’endroit, vu que les restos du coin, j’ai du tous les essayer. Heureusement Athéna a repéré un joli endroit en allant à une fête de village, le Clos du bouc (ben quoi, ce n’est pas commercial comme nom ?)

Le clos du bouc est un hôtel restaurant, un manoir dans un joli parc, des vergers, une piscine. Je réserve donc une table pour nous quatre.

Le soir même nous nous garons dans le parc et comme nous sommes un peu en avance, je visite le parc, tandis qu’Artémis se prend elle même en photo dans les allées de rosiers. Des buissons sont taillés en forme de lettre pour former le nom du domaine, le Clos du bouc.

Je repère alors deux cuisiniers qui font leur pose clope derrière les buissons, et je me moque d’Artémis. L’un des deux s’en va, mais l’autre ne quitte pas Artémis des yeux.

Nous passons sous le joli porche en pierre du pays, puis nous entrons. Le gérant, la cinquantaine, moustachu bedonnant, nous réservé une table ronde. Très confortable sauf pour Martine, trop loin de nous, qui n ‘entend pas bien.

Quand le gérant nous explique un peu les plats, ça me rappelle le TP (z’avez qu’à suivre) et j’ai un peu envie de rire. Athéna et moi craquons pour le foie gras poëlé. Elle et moi sommes des fanatiques de la cuisine du Sud Ouest, magret de canard, confits, salade de gésiers, nous trouvons tous les prétextes pour en manger !

En dessert Artémis a choisi une forêt noire. Il y a un joli cœur sur l’assiette, je le prends en photo.

Un moment agréable, il fait très chaud. Il fait nuit quand nous partons. Le gérant nous accompagne à la porte, et nous souhaite bonne vacances (ça se voit tant que ça que nous sommes parisiennes), il nous demande où nous sommes en vacances, nous indique un autre restaurant. Il me donne même son nom, pour que je dise au patron de l’autre resto ! Mes filles se moquent encore : “il te drague !”

L’histoire du Clos du bouc aurait pu s’arrêter là ! Et non !