J’ai laissé un peu en friche mon blog, et au moment de raconter une histoire (une histoire personnelle, pas inventée) je me rends compte que j’ai négligé de mettre à jour des informations sur ma famille.
Je précise pour ceux qui ne suivent pas ! Ma famille : mes filles, gendres et moi. Ma tribu : celle d’où je viens, Martine, frère, sœurs, neveux , nièces…

Voici donc quelques petites informations. Artémis a réussi un concours de la justice, cela faisait deux ans qu’elle était sur une liste d’attente pour avoir un poste. Je ne vais pas rentrer dans les détails c’est très compliqué, mais vous ne serez pas étonnés d’apprendre que certains candidats renoncent au bénéfice du concours, soit parce qu’ils ont trouvé autre chose, soit parce que le poste ne leur convient pas.
C’est un concours national, la France c’est grand et hexagonal… J’allais écrire ” aux quatre coins de la France ” et je ne sais pas compter les coins d’un hexagone !

Bref, comme dirait Martine, Artémis avec travaillé chez PHIGI en attendant, écrivant au kilomètre des descripitons dithyrambiques pour les objets à vendre sur le site. En novembre son nom était sur la liste parmi d’autres et elle devait faire une lsite de choix. Bien entendu elle voulait être le plus près possible de chez elle, quitte à habiter la semaine dans un studio et à rejoindre son chéri le week-end sur le port au bord de la Louvoise.
Artémis s’est retrouvé en Corrèze, à 2 h 30 de route de chez elle. Tout est allé très vite, trouver un studio, l’installer, et débuter en janvier dans un tribunal au bord de l’eau lui aussi. Elle était un peu déprimée, mais il y a toujours nos ” chat ” à trois et je l’appelle toutes les semaines. Les voyages en train le dimanche soir et le vendredi soir sont un peu longs, mais dès qu’il fera beau elle prendra sa voiture. Artémis n’aime pas spécialement conduire, donc elle attend les beaux jours. Il lui reste à attendre d’être titulaire, pour demander sa mutation à Petite Ville du Sud ou près du siège de PHIGI…

Athéna et Jim ont annoncé l’été dernier, lorsque toute la tribu était à la Sauvageonne, leur intention de se marier. La grande fête est prévue pour 2020 ce qui me paraît bien loin, et rien n’est encore organisé, car Athéna veut une cérémonie à la Sauvageonne.
Le problème c’est que pour installer un barnum, un chapiteau, une tente, enfin tout ce que vous voulez, il faudrait un petit morceau de terrain plat ! La sauvageonne est accrochée à la colline, et le seul petit morceau de terrain plat est… la piscine !

En attendant Athéna et Jim se sont mariés civilement en petit comité, dans une petite mairie en brique rouge.
J’ai donc maintenant un ” vrai ” gendre, même si je dis toujours mes gendres pour simplifier !

De mon côté rien à signaler. Cela suit son cours, je suis déjà dans ma tête à Grande Ville du Sud, j’ai déjà quitté mon travail. Je danse moins cette année scolaire, je prends toujours des cours de théâtre.

Enfin rien à signaler ! Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Je suis heureuse pour mes filles, je suis heureuse qu’elles aient des compagnons en or, et que tous les quatre aient un travail.

Martine va bien, elle parle toujours autant, se plaint souvent, mais elle est en bonne santé.

Mon filleul Chris se marie en avril, grande messe en latin, château en Normandie…
Je l’ai déjà dit peut-être. Je ne sais pas si je raconterais, il faudra qu’il y ait une ou deux petties anecdotes amusantes à raconter.

Pour l’occasion j’ai loué une maison dans un village perdu où je vais séjourner avec mes filles gendres pour le week-end.