En rentrant de vacance, j’aime bien m’arrêter sur cette aire d’autoroute.
Le paysage est encore joli, avant de passer du côté du tout plat, tout morne, tout triste…
Il fait froid, il fait du vent, Martine et Artémis préfèrent pique niquer dans la voiture.
Moi je regarde les vaches.
Et je m’interroge sur leur cruel destin. Ça doit être triste d’être un animal.
Jamais une bonne douche chaude. Jamais un bon lit douillet.
Cruel destin
27/04/2009. Lien permanent Ça m'interpelle