Quand j’étais enfant, le jour de la Saint-Valentin mon papa achetait un bouquet de roses à ma maman.
C’était d’autant plus facile que la boutique voisine est un fleuriste ! Il n’y avait pas de cadeau, pas de restaurant, pas de menu amélioré, nous étions 4 enfants, donc les parents amoureux certes, avaient d’autres priorités.
Je trouvais ça mignon ce petit bouquet, et ça suffisait largement !

Je ne sais pas pour vous, mais ça commence à me gaver ces pubs pour la Saint Valentin ! Je reçois même des méls de site marchands “offrez vous un cadeau pour la Saint Valentin ! “
Oui : offrez vous à vous-même un parfum ou un foulard !
Mais n’importe quoi !
Et ne croyez pas que je suis aigrie car célibataire !
Mes deux filles ont des chéris et ni elles ni leur conjoint ne jugent utiles de fêter cette fête devenue trop commerciale ! Ils ont d’autres chats à fouetter et fêtent plutôt leurs anniversaires et leur anniversaire de rencontre !

Mais bon il ne faut pas se plaindre quand même ! Aux States pays de la compétition permanente, dès la primaires, les chérubins envoient des cartes de Saint Valentin aux petties filles.
L’occasion pour les parents de mesurer la popularité de leur fille ! Imaginez la pauvre fille qui n’a pas de succès ! Aussi grave de ne pas avoir de cavalier au bal de promo !
Quelle horreur cette pression !