104789365

La liberté c’était un rêve, c’était un but…

La liberté c’était l’inaccessible, la terre promise. 

La liberté, celle qu’on veut retrouver, celle qu’on veut reprendre quand on est en couple, couple bancal, quand on est malheureuse, piégée, la liberté on en a gardé que le bon…. jamais le mauvais ! 

La liberté j’avais oublié que c’était aussi la solitude, je n’avais gardé que les bons côtés. 

Mais la liberté, cette liberté là, qui n’a rien à voir avec la liberté avec un grand L, la liberté des hommes prisonniers, des pays enchaînés, la liberté qu’un jour tu retrouves parce que tu t’es battu. 

Cette liberté que beaucoup, hommes ou femme, dans la trentaine ou la quarantaine ou peut être plus, que nous avons retrouvé avec une joie d’enfants, des larmes séchées et de l’espoir, parce qu’il en fallait, cette liberté là dont parfois nous ne savons que faire comme des esclaves affranchis qui n’ont jamais su qu’elle existait cette liberté. 

Cette liberté rêvée qui n’a plus rien à voir avec notre liberté d’ado insouciant… 

J’avais oublié que la liberté c’était aussi tous ces “mauvais chevaux”, tous ces ringards, tous ceux qui ne donnent même pas envie d’essayer… 

Les hommes ont oublié que ce n’est plus comme en discothèque à 20 ans, il ne suffit pas d’être mignon, il en faut un peu plus, les femmes aussi ont grandi et sont plus exigeantes ! 

Mais la liberté, si elle n’est pas forcément celle que je croyais, et bien la liberté, je l’ai quand même ! 

Celle de dire “non merci, pas pour moi ! Plutôt seule que mal accompagnée !